Florian Ellouet Agence Issy les moulineaux
« Accompagner les clients dans leurs projets immobiliers : un vrai travail d’équipe ! »
Qui es-tu ? Depuis quand es-tu Courtier Mandataire en prêt immobilier CAFPI ?
Je m’appelle Florian Elleouet, j’ai 31 ans, et j’ai rejoint le réseau CAFPI en 2012.
Après une école de commerce j’ai commencé ma carrière dans un cabinet de consulting dans le secteur de la finance. L’opportunité de rejoindre CAFPI est arrivée un peu par hasard au détour d’une rencontre à la salle de sport !
J’ai rencontré David, un responsable de secteur CAFPI sur la zone ouest/sud de la région parisienne. A force de discussion et d’échanges sur nos vies professionnelles, j’ai décidé de prendre une semaine de congé pour m’immerger dans l’univers CAFPI à ses côtés.
Ça a été révélateur ! Avoir mon propre emploi du temps tout en étant au sein d’un grand réseau.
Quelles sont tes missions au quotidien en tant que courtier en prêt immobilier chez CAFPI ?
Des journées qui se suivent mais qui ne se ressemblent pas !
Après 6 ans d’expérience en tant que courtier mandataire en prêt immobilier CAFPI, j’ai eu l’opportunité d’évoluer à plusieurs reprises dans le réseau et j’ai rejoint une superbe agence, situé à Issy-Les-Moulineaux, depuis le mois de mai. Nous sommes 4 commerciaux et nous travaillons avec deux assistantes qui sont hyper réactives et compétentes, sur lesquelles nous pouvons compter, c’est très précieux.
L’une des clés de notre métier c’est justement cette réactivité, il faut pouvoir répondre rapidement au client. Aujourd’hui, il y a beaucoup de concurrence dans le courtage, chaque jour est un challenge, c’est vraiment ce que j’aime.
Mes projets ?
Continuer à évoluer, à grandir et à faire grandir notre agence, on a encore deux bureaux disponibles !
Quels conseils donnerez-vous pour réussir dans ce métier ?
Je dirais qu’il faut aimer le terrain et aimer la prospection. Quand j’ai commencé, je pensais que cela consistait à multiplier les contacts, mais j’’étais à côté de la plaque ! J’ai réalisé avec les années qu’il s’agit de bâtir de vraies relations humaines, de confiance, qu’il faut être sur le terrain toutes les semaines. Si l’on n’est pas prêt à aller chercher le business, c’est qu’on n’est pas fait pour ce métier.